Les soupers  »entre amis ».

Le prochain souper entre amis est programmé en date du Dimanche 25/03 nous vous attendons a partir de 17h, le plat proposé est une , Boulettes tomates frites 15€ pour les adultes et 10€ pour les enfants.

Nous espérons vous y voir nombreux, bienvenue à tous, suivant les places disponibles.

Les inscriptions sont ouvertes et seront clôturées le Samedi 18 Février.

ATTENTION

Les places étant limitées, les inscriptions se font au préalable via mail, Sms, messenger ou sur place, pour le 18/03 au plus tard.

Pour les non-habitués, réservations par mail asblentrenous@hotmail.com avec payement par virement au compte BE06 3632 1448 4622 ou sur place (uniquement les personnes membres Asbl entre nous sports et loisirs)

En soutient à l’Asbl

Articles disponibles

Mugs au Logo Asbl : 10€ pièces

Mugs disponibles à tout moment sur demande.

Patchs velcro ou a coudre 8Cm de diamètre : 10€ pièces

Patch système velcro, vous permet de placer le patch sur tout vêtement ayant le support velcro ou sur les matière laineuse sans besoin de support, disponibles à tout moment sur demande.

Articles disponibles sur commande

L’Asbl est en attente d’un retour afin de vous proposer des teeshirts, polos choix de coloris orange ou gris anthracite, sweat et veste été bi-color noir et rouge et casquette bi-color noir et orange, ces articles seront disponibles sur commandes.

Les infos suivront avec les illustrations.

Nos sponsors et partenaires

ADANT Jordan Assurances

https://www.pv.be/fr/web/lobbes.pv.be

Pour un service de qualité, par un agent de compétence à des tarifs attrayant, n’hésitez pas à prendre contact, a revoir vos contrat, sans engagement.

Entreprise de chauffage LAHAYE E.

https://fr.kompass.com/c/entreprises-e-lahaye/be0143696/

Travaux de plomberies, sanitaires, chaudière ou autres dans le domaine, un service rapide, efficace et transparent.

Auray Elect, entreprise d’électricité et système de sécurité

https://www.auvray-elec.be/

Electricité ou système de sécurité, cette entreprise familiale saura vous satisfaire dans toutes vos démarches et suivit, n’hésitez pas à faire appel pour tout vos travaux en ce sens.

Les stages congés scolaires

Stage de Carnaval ANNULE (manque inscriptions)

Stage de Pâques

Organisation d’un stage de Pâques pour les 5 ans à 16 ans, si il y a demandes et réservations payées au minimum pour 10 enfants, l’ASBL se réserve donc le droit d’annulation avec remboursement si le quota de présences n’est pas atteint.

Nombre de places : 20, reste actuellement : 20 places de libres

Sujet :

Ateliers didactiques:

Lundi :

Mardi :

Mercredi :

Jeudi :

Vendredi :

Adapté pour : 5 ans à 16 ans Places de disponibles : 20

Inscriptions par mail : asblentrenous@hotmail.com payement: par virement sur le compte BE06 3632 1448 4622 au plus tard pour le 01 Avril 2021 dans la limite des places disponibles, l’enregistrement est pris en compte après réception du paiement.

Prix : 120€ la semaine, repas chaud de midi et collations inclus.

supplément de 20 euros la semaine pour la garderie matin et soir (8h00-9h00 et 16h00-18h00), Gratuité pour les membres affiliés à l’ASBL.

Le stage se termine avec une présentation de l’acquis de la semaine aux parents et le verre entre amis.

Suivant l demande et le succès du stage de Carnaval, un stage de Pâques pourrais être mis en place, 1 semaine pour 5ans à 16 ans (du 04/04 au 08/04)

Documents a nous remettre le premier jours du stage

*formulaire inscription recto-verso ci-dessus

*fiche médicale recto-verso ci dessus

* 2 vignettes de mutuelle

Liens vers les sites des Clubs

Le Kokyu Aikido Chatelet

Cours Mercredi de 17h à 18h enfants jusque 12 ans, 18h à 20h Adultes

Samedi de 10h à 11h enfant jusque 12 ans, 11h à 13h Adultes.

Renseignements : ricdranoel@hotmail.com

http://aikidokokyuclub.e-monsite.com/

Le Yoga entre amis

Cours Vendredi de 17h45 à 19h00

Renseignements : cellynebe@hotmail.be

Le Karaté Shotokan

Cours les Mardi et Jeudi de 18h à 20h

Renseignements : info@karateloverval.be

La Gym douce proposée par ASBL

Cours le Mercredi de 16h à 17h

Samedi de 9h à 10h

Renseignements : Cellynebe@hotmail.be

KC Lobic (Aérobic Karaté)

Cours les Vendredi de 19h15 à 20h15

Renseignements : info@karateloverval.be

HIIT BOXE

Cours : les lundi de 18 à 19h00

renseignement: hiit.boxing@gmail.com

Le Reïki proposé par l'Asbl

Le lundi 2 places sur rdv, de 17h à 18h ou de 18h à 19h et le vendredi 1 place sur rdv, de 18h30 à 19h30.

Réservations via Asbl.

Le bol tibétain, bols chantant, relaxation

1 Samedi par Mois, 5 places sur Rdv de 9h à 17h, réservations via Asbl.

La relaxation, le bien-être, et les soins a travers les vibrations sonores.

Le jardin Zen, japonisé

Qu’est-ce que le jardin japonais ou Jardin Japonisé ?

On parle de Jardin Japonais, lorsque celui-ci est entièrement conçu dans les règles et les significatives de chaque éléments qui le composent, tout ayant une place bien précise.

On parle de Jardin Japonisé, lorsque celui-ci est décoré d’éléments caractéristiques des jardin Japonais, sans pour autant prêter attention aux règles de placements à suivre comme expliquer ci-dessus.


Le jardin japonais cherche à reproduire la nature et à la sublimer. On va donc tendre à imiter les éléments de celle-ci : mers, rivières, lacs, forêts et montagnes.
Dans les croyances traditionnelles du Japon, le chaos naturel cache en fait une harmonie fondamentale. A l’inverse, les lignes droites, les angles et les nombres pairs sont propices aux mauvais esprits. C’est pourquoi contrairement aux jardins à la française, la beauté du jardin japonais est d’abord dans la dissymétrie.
Dans cette conception imbriquée du chaos et de l’harmonie, les maîtres-mots du jardin japonais sont simples : la sobriété, le calme, la souplesse et l’équilibre. L’espace est alors façonné avec finesse pour appeler la présence et la détente de ses contemplateurs. Dans cette approche, le style nippon traditionnel va prioriser trois éléments : la miniaturisation de la nature, la capture du paysage environnant et les symboles spirituels.
Dans le jardin japonais, la composition des roches, des arbres et des points d’eau se veut donc fidèle à la nature et à son caractère sacré. Au Japon, les symboles renvoient aux croyances bouddhistes et taoïstes. Mais chacun peut bien sûr y voir ce qu’il veut.
Au niveau technique, la conception du jardin japonais se base sur deux objectifs fondamentaux : la dissymétrie et la dissimulation. Explications.
La dissymétrie

Les éléments de composition du jardin japonais : rochers, végétaux, eau, sable, gravier, ornements…
Le jardin japonais se veut sobre et savamment organisé, malgré sa dissymétrie apparente. Pour le concevoir, on évitera ainsi les lignes droites et les démarcations trop évidentes. Et on privilégiera l’orientation des regards et des balades par la diversité des éléments qui le composent : rochers, végétaux, eau, sable, gravier, ornements….

Les rochers jouent un rôle central dans la tradition japonaise. , ils incarnent les esprits divins.
Leurs amas vont généralement faire office de transition entre différentes zones. Des rochers pourront par exemple distinguer une partie végétale et un bassin. Ou elles signaleront la séparation entre la terrasse de la maison et un sentier aménagé. Etc.

L’eau symbolise à la fois la douceur, la force et l’harmonie de la nature. Symbole de vie, elle est aussi purifiante et régénérante.
Les plans d’eau peuvent aussi abriter des carpes koï, rouges et oranges, symboles forts de la culture japonaise. Pour des projets moins imposants, vous pouvez enfin intégrer une fontaine à bascule. Souvent en bambou, son eau pourra par exemple venir inonder le sol avant d’être recyclée.

Les végétaux constituent le troisième élément fondamental du jardin japonais. Et ils suivent la même logique que les autres : l’organisation des plans et l’équilibre de la composition. Les végétaux ont cependant une particularité : ils évoluent continuellement !
Evidemment, la coupe et la taille sont essentielles pour donner aux plantes les formes recherchées.


Les chemins, le sable et les graviers sont courants dans les jardins japonais. Les sentiers sont généralement en terre battue et recouverts de graviers ou de pierres plates. Ils permettent évidemment de se balader dans le jardin mais ils participent aussi à son équilibre esthétique. Les « pas japonais », bien connus, devaient traditionnellement permettre de rejoindre le pavillon du thé sans salir les kimonos des invités !
Les petits sentiers étroits, nommés shiki-ishi, sont une autre tradition japonaise. Ils font appel à l’imagination des observateurs et donnent aux balades un côté mystérieux.

Les accessoires et ornements peuvent compléter l’ensemble. Bien choisies, les lanternes, statues et petites fontaines donneront sa touche finale à votre jardin japonais. Il s’agit cependant d’être parcimonieux et de placer ces objets avec finesse.
Le shishi odoshi est quant à lui une fontaine en bambou avec un système de balancier. Elle se remplit d’eau, puis bascule régulièrement et se vide en claquant une pierre dans un bruit sec. L a régularité de ce son est propice à la méditation.

qUE POUVEZ-ADMIRER DANS NOTRE Jardin JAPONISE ?

Le Torii

Un torii ou tori-i est un portail traditionnel japonais. Il est communément érigé à l’entrée d’un sanctuaire, afin de séparer l’enceinte sacrée de l’environnement profane. Il est aussi considéré comme un symbole du shintoïsme.

Le torii japonais, symbole sexuel féminin. Un spécialiste des jardins japonais, explique que le torii est plus qu’une simple porte. Le torii représente la moitié inférieure du corps d’une femme, debout sur ses deux jambes, et dont la partie supérieure représente ses organes sexuels… Ainsi, lorsque vous franchissez le torii, vous entrez dans un sanctuaire, un endroit pur et sacré, là où se conçoit la vie. Une fois purifié, lorsque vous en ressortez, c’est comme une naissance et le début d’une nouvelle vie. Une renaissance en quelque sorte.

La pagode de Jardin Asiatique

La pagode Japonaise fait partie intégrante de l’architecture nippone. Au delà de l’usage religieux, depuis l’antiquité, les pagodes sont louées pour les vues spectaculaires qu’elles offrent de par leur placement sur les lieux et sites spécifiques.
Réelle inspiration pour de nombreux poèmes célèbres de l’histoire Japonaise.
Les pagodes servent de lieux de vues, mais aussi de cultes religieux ou de cultes cérémonials, tels que la cérémonie du thé, ou de remise de mérite quelconque, ou même d’entrevue spirituelle.

La fontaine Shishi Odoshi Bambou avec son plan d’eau

Fontaine traditionnelle japonaise, le Shishi-odoshi en bambou est constitué d’un système de balancier simple et efficace. La partie pivotante est un réceptacle pour l’eau qui, une fois rempli, bascule pour se vider. Ceci a pour effet d’animer votre espace bassin dans la plus pure des traditions zen.

Nos Carpes Koï

La culture des carpes koï à Yamakoshi et au Japon de manière générale remonte à plus de 400 ans, mais elles n’ont pas toujours été des créatures aux couleurs vives et esthétiques comme nous les connaissons aujourd’hui. À l’origine, les carpes étaient élevées pour la nourriture et on ne les trouvait généralement que de couleur noire ou brune. À la fin du XIXe siècle, les fermiers de Yamakoshi ont remarqué l’émergence de la carpe rouge et orange parmi les carpes cultivées, ce qui les a incités à commencer à les élever à des fins esthétiques. On appelle ces carpes ornementales les Nishiki-koi ou Nishikigoi en japonais (traduisant littéralement à “poissons colorés”).

Les plans de Bambou Phyllostachys bissetii vert

Les bambous sont des plantesmonocotylédones appartenant à la famille des Poaceae (graminées), sous-famille des Bambusoideae. Souvent de grandes longueurs, ils sont répartis dans la classification botanique en deux tribus : les Bambuseae, originaires des régions tropicales et subtropicales, et les Arundinarieae, originaires des régions tempérées. Ils sont caractérisés notamment par leurs tiges formées d’un chaume, généralement creux, lignifié, à la croissance très rapide.

L’érable rouge du Japon Acer palmatum

L’érable rouge du Japon (Acer japonicum) est un arbre caducifolié, d’Asie de l’Est. Il peut atteindre 12 à 15 m de haut à l’état sauvage. Il appartient à la section Palmata de la classification des érables. Vulgairement on regroupe sous la dénomination d’érable du Japon l’ensemble des érables provenant de ces régions, c’est-à-dire principalement les espèces Acer japonicumAcer palmatum et Acer shirasawanum. Son nom vernaculaire, érable japonais, provient de l’origine géographique de sa classification par le naturaliste suédois, Carl Peter Thunberg lors d’un voyage au Japon à la fin du XVIIIe siècle. Il fut introduit en Europe en 1864. En général, les plantes à écorce rouge, les espèces à feuilles colorées en rouge ou celles à feuilles triangulaires ou coniques représentent feu.

Phyllostachys rufa vert du Japon

Phyllostachys viridiglaucescens est une espèce de plantes monocotylédones de la famille des Poaceae, sous-famille des Bambusoideae, originaire du Japon. Ce sont des bambous géants à maturité, traçant 4 à 7 m/an, dont les tiges (chaumes) peuvent atteindre 8 à 13 m de haut et 5 à 10 cm de diamètre. C’est un bambou très rustique qui peut résister aisément à des gels allant jusqu’à −20 °C (voire plus suivant le terrain et la situation). Son feuillage est moyen à dense et semi-persistant.

Houx du Japon, Ilex crenata

Ilex crenata est un arbuste vigoureux qui aime les hivers froids et rigoureux, ainsi que les étés doux et pas trop secs. Il se plait en pleine terre dans un sol riche en matière organique, légèrement acide à neutre. Les sols trop argileux et lourds sont allégés par un apport de compost et un peu de sable horticole. Ilex crenata supporte bien le gel sauf s’il est cultivé en pot. Les houx japonais cultivés en pot nécessitent une protection hivernale contre le gel.

Le houx japonais est implanté au jardin, au mois de mars, en dehors d’une période de gel, comme pour les conifères. Il a ainsi toute la période estivale pour s’enraciner, avec des arrosages copieux et réguliers la première année, en cas de sécheresse : il affronte ainsi l’hiver suivant en toute quiétude.

Camélia Japonica Bonomiana rose

Le CamelliaBonomiana‘ est une variété de camélia du Japon datant du 19ème siècle aux fleurs éblouissantes et bicolores. De taille moyenne, bien doubles et parfaitement formées, ces plantes rappellent certaines roses panachées et striées d’une couleur rose carmin brillant sur fond blanc à rose pâle.

Chèvrefeuille Cupule Maigrün

Le chèvrefeuille cupuleMaigrun‘ (Lonicera Nitida) a des fleurs blanches discrètes et parfumées et des baies noires. Vous pouvez planter cet arbre tout au long de l’année, hors périodes de gel. Le thuya occidental doit être taillé deux fois en été. Placez la plante dans un endroit bien ensoleillé.

Roseau de Chine Miscanthus Adagio rose-blanc

Le roseau de Chine ‘Adagio’  appartient à la famille des poacées. C’est une forme horticole issue de Miscanthus sinensis, originaire d’Asie extrême orientale et d’Océanie. Cette  graminée vivace à courts rhizomes se développe en touffes non traçantes, elle est cespiteuse. Le port à la fois compact et érigé atteint 70 cm à 1 m de hauteur en fleur, pour un étalement de 50 à 70 cm. Les feuilles sont fines, très longues, souples, au coloris vert très argenté. De longues tiges florales émergent du feuillage de août-septembre à novembre, sous la forme d’épis digités et soyeux de 20  cm de long, rose pâle au débourrement. En fanant, ils prennent une jolie teinte blanc crème. Les plumets sont constitués de minuscules fleurs roses qui se referment un peu après, pour s’ouvrir de nouveau à maturité. Ils prennent alors une apparence plus pâle et plus duveteuse. 

Herbe de la Pampa blanc

Herbe de la pampa blanche | Cortaderia selloana Monstruosa | Graminée L’herbe de la Pampa Blanche (Cortaderia selloana) est une graminée ornementale solide qui offre une floraison de couleur blanche sous forme de plumeaux pouvant atteindre 3 mètres de hauteur.

Originaire d’Amérique du Sud, la Pampa Blanche fait partie de la famille des Poacées (anciennement connue comme les Graminées), qui regroupe d’autres plantes telles que le blé, l’ogre ou encore le bambou. Une famille qui contient près de 12 000 espèces, dont la plupart sont des herbes et des céréales connues depuis le Crétacé – il y a donc près de 150 millions d’années !

Hortensia Paniculata

Arbuste à port compact ou érigé originaire d’Asie, principalement de Chine et du Japon, l’Hydrangea paniculata est un proche cousin de l’Hydrangea macrophilla, l’hortensia classique. Portant tantôt des panicules en cônes, arrondies ou en boules, l’hortensia paniculé peut s’épanouir dans une terre neutre à condition de lui apporter le soleil nécessaire. Très florifère, sa floraison enchantera votre jardin jusqu’en automne.

Hedera Helix

Le lierre (Hedera) est une liane formant de nombreuses tiges lignifiées adoptant un port grimpant, arbustif, voire rampant. Les crampons qui lui permettent de s’agripper à son support sont en fait des racines transformées. Les feuilles diffèrent sur une même plante, selon l’âge, l’exposition et le fait que la tige soit porteuse de rameaux florifère ou non. Il existe 11 espèces de lierres et de nombreuses variétés, arbustives, grimpantes, ou rampantes de tailles variées, certaines pouvant atteindre 10 mètres de hauteur alors que d’autres resteront naines.

Troène ovalifolium

Le Ligustrum ovalifolium ou troène de Californie est un arbuste de culture facile et de croissance vigoureuse, parfait pour constituer une haie libre ou taillée. Son port est dressé, et il s’habille d’un feuillage dense, semi-persistant, composé de petites feuilles ovales vertes.

Statue Carpe Koi

­ L’histoire de la carpe koï

Contrairement à ce qu’on pourrait croire, la carpe koï n’est pas originaire du Japon. La plus ancienne forme du nishikigoi, appelé magoi, était noire et vivait dans les Mers Noire, Caspienne, d’Aral et d’Azov.

Au Japon, symbole d’amour et de virilité, la carpe Koï existe dans de nombreux coloris. Certaines espèces peuvent vivre une cinquantaine d’années, c’est pourquoi ces carpes représentent la force et la persévérance.

Statue lanterne Japonaise

Les lanternes japonaises (Ishi Doro) furent introduites au Japon à l’époque de Nara. Elles provenaient de Chine où elles étaient largement utilisées. Leur but initial était d’éclairer les temples et les sanctuaires lors des cérémonies religieuses nocturnes. Mais à côté de cet aspect strictement utilitaire, on les disposait également aux endroits importants, afin de symboliser la présence divine dans l’enceinte du temple.

Statue Dragon Japonais

Le dragon japonais, également appelé ryū ou tatsu, est une créature serpentine qui ne possède pas d’ailes, contrairement au dragon occidental. Symbole de force et de pouvoir, il est respecté et honoré au Japon. Saviez-vous que le Dragon a la particularité de posséder une perle sacrée, cachée dans sa gorge, qui lui confère tous ses pouvoirs ?

Cet animal mythique est doté d’un long corps serpentin recouvert d’écailles et dépourvu d’ailes. Son apparence ressemble à un croisement de plusieurs animaux avec un corps de reptile, des pattes de tigre, des serres d’aigle, une tête de chameau poilue, des oreilles de bœuf et des cornes de cerf. Ses yeux démoniaques rajoutant de l’emprise à son air féroce. Cependant, à la différence de son cousin chinois, le dragon japonais ne possède que trois griffes au lieu de cinq.

Estampes, Rouleaux suspendus, Ukiyo, Illustrations, Tableaux.

Calligraphie peinte main 1956

Traduction : ‘’SI PRES DE LA BEAUTE »

A vous enseignants, au bout de ce chemin votre ancienne lumière fera place à une nouvelle vie’’

Comme les Japonais n’avaient pas de système d’écriture, ils ont cherché à utiliser les caractères chinois non pas seulement pour écrire le chinois, mais aussi leur propre langue. Jusqu’à nos jours, sur le plan lexical, les kanji sont ainsi encore essentiellement utilisés, non pour noter des prononciations, mais pour noter des sens. Cependant, le japonais a une structure très différente du chinois classique, et l’écriture chinoise ne permet pas d’en transcrire la grammaire et la syntaxe

Rouleau suspendu Soie du Japon, période fin Meiji 1906

Représente : Le samouraï recevant un rouleau écrit de la part d’une Geïsha

Un rouleau suspendu, est une des nombreuses façons d’exposer la peinture et la calligraphie chinoise et Japonaise.

Cette manière de présenter l’art permet au public d’apprécier et d’évaluer l’esthétique des rouleaux dans leur intégralité. L’artisanat traditionnel impliqué dans la création d’une telle œuvre est considéré comme un art en soi. Les supports se répartissent en quatre familles principales : les rouleaux manuels, les rouleaux suspendus, les feuilles d’album et les paravents.

Duo de callygraphies

Traduction : – ‘’la honte est le sang de notre cœur’’-

-‘’L’energie est un bien précieux’’-

Les rouleaux suspendus sont généralement destinés à être exposés pendant de courtes périodes de temps et sont ensuite roulés pour être repliés et sécurisés pour l’entreposage. Les rouleaux suspendus sont présentés de façon alternée selon la saison ou l’occasion, car ces œuvres ne sont jamais destinées à être exposées de façon permanente. La bordure de la surface de la peinture en papier ou en soie peut être décorée d’un brocart de soie. Dans la composition d’un rouleau suspendu, le premier plan se trouve généralement au bas du rouleau tandis que les plans moyens et lointains se trouvent respectivement au milieu et au sommet.

Ukiyo – Estampe, gouache, 1907

Représentation : Deux personnes devant une joueuse de flûte sous un un arbre en fleurs, Gouache sur bois. 40/50

L’ukiyo-e, terme japonais signifiant « image du monde flottant » est un mouvement artistique japonais de l’époque d’Edo (1603-1868) comprenant non seulement une peinture populaire et narrative originale, mais aussi et surtout les estampes japonaises gravées sur bois.

Les thèmes de l’ukiyo-e sont également tout à fait nouveaux, car ils correspondent aux centres d’intérêt de la bourgeoisie : les jolies femmes et les oiran (courtisanes) célèbres, les shunga (scènes érotiques), le théâtre kabuki et les lutteurs de sumo, les yōkai (créatures fantastiques), les egoyomi (calendriers) et les surimono (cartes de vœux), le spectacle de la nature et des meisho-e (lieux célèbres).

Geïsha cadre relief, soie et porcelaine 1954

Représentation : en 2 dimensions, en cadre d’une courtisane Japonaise, cadre de 20/30 période Shöwa.

Le Japon se dit Nippon en japonais, ce qui signifie « Soleil Levant ». La culture Japonaise est l’une des plus raffinées au monde, et le pays, bien qu’ultra moderne, n’a pas tourné le dos à ses belles traditions. L’art de recevoir, l’arrangement floral, la calligraphie, les arts de la céramique, font toujours partie de la culture japonaise.

Ici retranscrit mi XXème avec un mélange raffiné de matières.

Shin’ichi Sato Peinture sur fond de soie 1932

Style KAKEJIKU – KAKEMONO 62Cm/26Cm

Représentant une jeune fille avec éventail sur terrasse et oiseaux

L’œuvre est signée par un Hanko et validée sur la boite d’origine, Shin’ichi Sato, est un peintre axé principalement sur les personnages et les paysages japonais du XXe siècle. Il est né le 8 décembre 1915 dans la préfecture d’Aichi et mort en 1982.

À partir de 1923, alors âgé de 8 ans, Shin’ichi Sato commence à se former aux techniques de la peinture à l’huile, sous la direction de Eiji Matsumoto. Par la suite, tout en continuant la peinture avec Kunitaro Suda (1891 -1961), il entamera, dès 1937, des études supérieures à l’Université de Kyoto. Il est appelé à l’armée pendant la guerre de 1941 à 1946. En 1951, il s’installe à Tokyo. Il part pour l’Europe en 1958, où il voyage pendant un an.

Tableaux incrustation de Nacre 1960

Représente : un ensemble de grues en nature et scène de promenade en jardin

L’incrustation de Nacre est un processus comprenant plusieurs étapes successives, il faut d’abord aplatir les coquillages en les plaçant dans un étau après les avoir soigneusement lavé à l’eau, en évitant que le nacre se brise, ce qui arrive trop fréquemment. Les ouvriers découpent ensuite le coquillage aplati en morceau et séparent les parties planes des bords avant de les polir. Ensuite c’est l’affinage, une opération qui dure 24h, au cours desquelles les morceaux polis sont à nouveau placés dans un étau sous l’eau et resserrés graduellement toutes les 15min. Le nacre peut alors être incrusté, la légende raconte que le métier d’incrustation de nacre est apparu à Chuyên aux environs du 12ème siècle sous l’égide de Truong Công Thành, un général talentueux. 

Reproduction de 3 séries d’Ukiyo-e sur papier de soie

L’ukiyo-e, terme Japonais signifiant  ‘’Images du monde’’ ou encore ‘’Scènes de vie et légende’’, est un mouvement artistique Japonais de l’époque d’Edo (1603-1868), comprenant les peintures populaires narratives, mais aussi les estampes gravées sur bois ou sur soie.

Les Ukiyo-e, appartiennent à deux époques majeures de l’histoire du Japon, période Edo et l’ère Meiji, et se poursuivra jusqu’en 1912. La période Edo plutôt calme, offrait un environnement idéal pour le développement de l’Art sous forme commerciale. L’ère Meiji se singularisera par l’ouverture du Japon à l’Occident et le déclin de l’Ukiyo-e traditionnel avec l’arrivée des couleurs et techniques chimiques.

Duo Estampes Toichi Kato 1969

Représente : Deux courtisanes de noblesse

Tōichi Katō (6 janvier 1916 – 3 décembre 1996) est un peintre japonais de style nihonga et président du conseil de la Nitten, importante conférence japonaise d’art. À Gifu, préfecture de Gifu, un musée est consacré à ses œuvres ainsi qu’à celles de son frère ainé, Eizō Katō.

Il naît à Mitono-machi, dans la préfecture de Gifu, le cinquième fils d’un marchand de laque. Il étudie à la Junior High School de Gifu, d’où il sort diplômé en 1934. Il poursuit ses études à partir de 1941 à l’école des beaux-arts de Tokyo, dans le département des études nihon-ga. Il reçoit son diplôme en 1947, et présente sa première œuvre à la troisième exposition annuelle de l’Académie japonaise d’art, qui la sélectionne. L’Eizō & Tōichi Katō Memorial Art Museum ouvre en 1991 à Gifu. Deux ans plus tard, Tōichi Katō achève la cloison de séparation pour la grande alcôve du Kinkaku-ji. Il obtient en 1995 la reconnaissance du Japon pour sa « contribution exceptionnelle à la culture », puis devient en 1996 citoyen d’honneur de Gifu.

Il meurt la même année d’une pneumonie à l’âge de 80 ans, et sera nommé en 1997 citoyen d’honneur à titre posthume de Fujisawa, préfecture de Kanagawa.

Mosaïques estampes japonaise modèle contemporain

Illustration : Cerisier et Koï japonais – Cascade en montage – Cascade en forêt

La mosaïque Japonaise : bien qu’étant une référence en matériel des mosaïstes (pinces japonaises, galets japonais), le Japon ne semble pas avoir de tradition dans cet artisanat.

Des artistes contemporains comme Toyoharu Kii ou Etsuko Miyoshi (qui a exposé à Paray le Monial), travaillent la mosaïque mais ils ont fait leur apprentissage à Ravennes, où les principaux sites historiques sont recouverts de mosaïques d’origine byzantine.

Illustration Okko, par HUB, 2015

Illustration signée de l’auteur, tirage limité à l’occasion de ses 10 ans de carrière.

Okko est une série de bande dessinée fantastique de Hub publiée depuis 2005 chez Delcourt, dans la collection Terres de Légendes. L’histoire prend place dans un univers médiéval japonais, librement inspirée d’œuvres comme Princesse Mononoké, La Pierre et le Sabre ou encore le jeu de rôle Le Livre des cinq anneaux.

Hub, de son vrai nom Humbert Chabuel, né le 26 juin 1969 à Annecy, est un auteur de bande dessinée français. En 1992, Hub est designer sur le film Le Cinquième Élément du réalisateur Luc Besson. Il réitère une expérience dans le septième art en 2001 avec le film Samouraï. Entre-temps, il se rode dans l’univers du dessin animé.

En 2005, il se lance dans la saga Okko avec la sortie du premier tome du Cycle de l’Eau. En 2011 sort le tome 1 d’Aslak, L’Œil du monde, chez Delcourt avec Hub et Fred Weytens au scénario et Emmanuel Michalak au dessin.

Estampe influence Keibun, Ecole Goshun de 1895

Représente : oiseaux sur cerisier en fleurs

Keibun, de son vrai nom Matsumara Keibun, (surnoms: Shisō, Kamane, nom de pinceau Kakei) est un peintre japonais des XVIIIe – XIXe siècles de l’école Shijō. Né en 1779 et mort en 1843. Il est actif à Kyoto.

Keibun est un peintre d’animaux, paysages et fleurs. Il est l’élève de son frère Goshun et fait partie de l’École Shijō. Il contribue, grâce à ses œuvres délicates et à sa touche raffinée, à développer la réputation de l’école de son frère dans la région de Kyoto et Osaka. Il travaille avec le confucianiste Koishi Genzui et est particulièrement versé dans les théories artistiques des dynasties chinoises Ming et Qing. C’est un spécialiste de la peinture de fleurs et d’oiseaux.

Rouleau suspendu horizontal 1962

Décoré et peint à la main, accompagné de calligraphie représentant 18 Luohans (moines bouddhistes japonais) dans un décor naturel, de 3m60/50Cm.

Luohan, désigne le dernier échelon de la sagesse. En sanskrit, le terme est le participe présent du verbe arh-, « mériter ». C’est donc proprement un « méritant », Le bouddhisme au Japon ( bukkyō ) a été importé de Chine et de Corée à partir des Ve et VIe siècles ; il est donc fortement influencé par les bouddhismes chinois et coréen, mais aussi par le shintoïsme, principale religion du Japon née plusieurs siècles auparavant. Son histoire peut être divisée en trois périodes, l’époque de Nara (jusqu’en 784), l’époque de Heian (794-1185) et la période post-Heian (à partir de 1185). Chaque période a vu l’introduction de nouvelles doctrines ou l’évolution d’écoles existantes, des trois grands courants du bouddhisme : hīnayāna, (voie du Petit Véhicule), mahāyāna (voie du Grand Véhicule), vajrayāna (voie du Diamant).

Illustration Rouge de Chine par Robin Thierry

Sur base de la série Rouge de Chine, illustration 40/50, éditée en 225 exemplaires numérotés et signés par l’auteur.

Thierry Robin, né en 1958 à Damery dans la Marne, effectue une spécialisation en dessin animé après avoir effectué ses études aux Beaux-Arts de Reims, il débute ensuite dans la bande dessinée aux éditions Fleurus avec, de suite, une série imprégnée par sa passion pour la Chine, ‘’Triolo et Mikado’’.

Après un Album nominé en 1990 au salon d’Angoulème, référence de la Bd, il se plonge totalement dans l’ambiance, les mystères et l’exotisme de la chine qu’il visite par 3 fois, se plongeant totalement dans cette culture jusqu’à en apprendre la langue, chaque album de sa série va dès lors s’enrichir de ses propres expériences, « Rouge de Chine » est une série fantastique et poétique en 4 volumes, pleine d’audace dans la mise en page, subtil voyage au centre de ce pays réinventé et inquiétant, exploration minutieuse et désabusée de l’âme humaine.

Illustration Kwaidan par Sik JUN JUNG

Sur base de la série Kwaidan, illustration sépia 40/50, éditée en 18 exemplaires numérotés et signés par l’auteur.

Sik Jun Jung, né le 2/12/1965 à Séoul, adopté par une famille Belge. En 1971, il prend pour nom d’adoption Jung Henin.

Après des études à Rixensart, il fréquente, en 1985, l’atelier St Luc de Bruxelles, et passe ensuite à l’académie des Beaux-Arts en illustration. Parallèlement, il fait un bref détour dans le dessin animé à la Cambre. En 1987, sa carrière prend un tournant décisif avec sa rencontre avec Michetz (Auteur Bd de Kogaratsu), qui le présentera chez Spirou, ou il développe son talent dans divers ateliers d’auteurs.

La finalité de ses dessins pour lui, est de faire transparaitre les émotions, les sentiments. En 1997, il réalise ‘’la jeune fille du vent’’, univers asiatique, et donc retour à ses origines. Avec Kwaidan, il signe son premier scénario, une série qui frappe par la beauté des couleurs directes et la poésie subtile et raffinée qui émanent de ce conte Japonais.

Série de 12 estampes 1949

Extraits d’un livre d’œuvres d’étudiant, signées Yasse Tabuchi vues de Yawata préfecture de Kyoto

Yasse Tabuchi, né Yasukazu Tabuchi, le 20 mai 1921 à Kitakyūshū, au Japon, et mort le 24 novembre 2009 à Vauhallan, au sud de Paris, est un peintre aquarelliste, graveur sur cuivre, lithographe et céramiste japonais du XXe siècle. Il est actif en France de 1951 jusqu’à sa mort.

Après avoir été mobilisé dans la marine et l’aviation, pendant les dernières années de la Seconde Guerre mondiale, il suit des études en histoire de l’art à l’université des arts de Tokyo de 1946 à 1951, tout en ayant commencé à peindre. En 1951, il quitte sa famille et Yokohama et prend le bateau en direction de Marseille puis refait sa vie à Paris. En 1959, il achète une ferme à Vauhallan, dans l’Essonne, afin d’avoir plus d’espace pour travailler. Dans la deuxième moitié des années 1950, Tabuchi s’intéresse en particulier à l’abstraction lyrique et explore le clair-obscur pour réaliser des toiles ayant de très forts contrastes colorés.

Rouleau suspendu Tomo-Bako 1932

Rouleau de soie, représente une grue, signé Imaï Keiju Période Showa

IMAÏ Keiju (1891-1967), Peintre de l’école Shijo, né dans la préfecture de Mie, a étudié sous la direction de Keinen Imao sous le pseudonyme de Kensei-saï.

Excellent peintre durant la période Showa (1926-1989), caractérisé par le relevé de ses couleurs, et sa production surtout basée sur les fleurs et les oiseaux.

L’école Shijo, également connue sous le nom d’école « Maruyama-Shijō », fait partie des diverses écoles mineures dont l’ensemble constitue la plus grande école de Kyoto. L’école Maruyama-Shijō tient son nom de la rue de Kyoto où étaient fixés de nombreux artistes. Littéralement, Shijō signifie « quatrième avenue ». Le style de l’école se concentre sur un réalisme objectif influencé par l’Occident mais réalisé avec les techniques traditionnelles de la peinture japonaise. Il se concentre moins sur la représentation exacte de son sujet, que sur l’expression de l’« esprit intérieur » Ses motifs les plus populaires sont les paysages tranquilles, Kacho (fleur et oiseau), les animaux, et les sujets traditionnels de tradition poétique et confucéenne chinoise

Peintures sur soie époque avant-guerre 1929 

Série de 3 estampes sur soie, faites mains, signées Yasuda Yukihiko

La peinture japonaise (Kaiga), (l’un des plus anciens et des plus raffinés des arts visuels japonais) comprend une grande variété de genres et de styles. Comme c’est le cas dans l’histoire des arts japonais en général, la longue histoire de la peinture japonaise présente à la fois la synthèse mais aussi la concurrence entre l’esthétique japonaise native et l’adaptation d’idées importées, principalement de la peinture chinoise, particulièrement influente dans un certain nombre de domaines.

Yasuda Yukihiko (16 février 1884 – 29 avril 1978) est le nom d’artiste d’une figure majeure de la peinture japonaise de l’ère Taishō et du début de l’ère Shōwa, qui est considéré comme l’un des fondateurs de la technique nihonga. Son véritable nom est Yasuda Shinzaburō, il est surtout connu pour ses peintures sur des thèmes historiques, et parfois pour ses tableaux d’oiseaux et de fleurs. Un de ses principaux disciples est Ogura Yuki, le fameux peintre nihonga .

Estampe brodée de 1920

Représente le pont de Ryôgoku à Edo vers 1680.

Traduction: Le voyage de la rivière Sumida-gawa avait des coutumes historiques, le festival du pont Ryogoku, ces aspects de la vie terrestre montrent l’immortalité de l’histoire.

Estampe signée, Ming Shanghe Hongqiao

Le pont de Ryōgoku, est un pont de Tokyo construit en 1659 sur la Sumida-gawa juste en amont de sa confluence avec la Kanda-gawa. Son nom, qui signifie « deux provinces », vient de ce qu’il relie Edo (prédécesseur de Tokyo dans la province de Musashi) et la province de Shimōsa. Le quartier de Ryōgoku à l’extrémité est du pont lui doit son nom. Originellement en bois, il est endommagé à plusieurs reprises avant d’être remplacé par un pont métallique en 1904. Le pont actuel résulte des fortes rénovations de 1932, et mesure aujourd’hui 164,5 m de long pour 24 m de large.

Rouleau suspendu Soie Japon, période début Showa 1930

Représente la présentation des étoffes au Shogun

Peinture de rouleau suspendu en soie, peint à la main, signée de la manufacture Fusstsu Shüko. Elle représente le diplomate et poète japonais SUGAWARA Michizane (845-903), apportant une pièce d’étoffe de soie en cadeau au Shogun.

Poète et homme politique de la période Heian du Japon . Il est considéré comme un excellent poète, en particulier dans la poésie kanshi , et est aujourd’hui vénéré dans le  shintoisme  comme le dieu du savoir. Il a commencé sa carrière à la Cour en tant qu’érudit au sixième rang supérieur relativement prestigieux en 870. Son rang coïncidait avec son rôle initialement de fonctionnaire mineur dans la bureaucratie de la Cour sous le ministère des Affaires civiles . En 874, Michizane avait atteint le cinquième rang (son père le quatrième), et servit brièvement sous le ministère de la Guerre avant d’être transféré à un rôle plus souhaitable au ministère des Affaires populaires.

Rouleau suspendu Parchemin, période fin Meiji 1901

Représente Tokiwa Gozen fuyant avec ses trois fils

Tokiwa Gozen (1138-1180), ou Dame Tokiwa, est une femme de la noblesse Japonaise de la fin de l’époque de Heian, mère du grand général samouraï Minamoto no Yoshitsune. Les sources ne s’accordent pas de savoir si elle est une concubine ou la femme de Minamoto no Yshitomo à qui elle donna trois fils dont le plus jeune nommé ci-dessus.

Après la défaite du seigneur Yoshitomon, Dame Tokiwa est capturée par Taira no Kiyomori, de qui elle sera la concubine en échange de l’assurance de sécurité pour sa famille. Après avoir fui celui-ci, elle épousera Fujiwara no Naganari.

Dame Tokiwa est essentiellement associée dans le domaine des arts et de la littérature à un épisode au cours duquel elle s’enfuit dans la neige, protégeant ses trois jeunes enfants dans ses robes après la rebellion de Heiji de 1160. Elle est aussi appelée Hotoke-Gozen ou dame Buddha.

5 Illustrations de MICHETZ

Illustrations sur base des séries Kogaratsu et Tako, éditées en nombre d’exemplaires réduits, numérotés et signés par l’auteur.

Michetz (pseudonyme de Marc Degroide), apprécié pour avoir créé le personnage de Kogaratsu. Il se fait particulièrement connaitre pour ses dessins inspirés du Japon. Ce passionné de la culture nippone a publié plus d’une dizaine d’albums mettant en scène son héros principal mais également de nombreux travaux autour du Japon.

Marc Degroide nait à Ixelles, en Belgique, le 15 octobre 1951. Il fait ses premiers pas dans la bande dessinée dans les années 1970 en intégrant le studio de Jean Graton, le créateur de la série Michel Vaillant. Parallèlement à ses activités professionnelles, Marc Degroide se passionne pour la culture japonaise et particulièrement pour les arts martiaux. Il pratique assidument le kendo, le judo et l’iaïdo. C’est ainsi qu’il construit ses premiers personnages.

La consécration arrive en 1983 avec le personnage de Kogaratsuun samouraï sans maître à l’époque du Japon médiéval. Le talent de Michetz se révèle au grand public. Les premières histoires sont publiées dans le journal de Spirou avant de voir la publication du premier album intitulé Le Mon au lotus de sang en 1985.

Mis à part son travail pour Kogaratsu, Michetz réalise d’autres travaux autour de sa passion pour le Japon, notamment des portfolios ou encore la publication de périodiques à la fin des années 1980.

Reproduction de tapisserie d’un grand Paon Asiatique

Au Japon, le paon est associé à une divinité bouddhiste (Kannon en Japonais, associé avec compassion).

Il porte donc des valeurs de bonté, d’amour, d’attention. Il est arrivé de Chine. Le phénix (feng huang) diffère de celui que nous connaissons.

Dans de nombreuses cultures et à travers l’histoire, le Paon a été considéré comme un oiseau sacré et immortel.

Dans la culture Japonaise, il est représenté par la divinité ‘’Kujaku-myou’’.

Très proche de l’humanité, qu’il guide grâce à sa traîne de plumes comme une multitude d’yeux.

Noren décorés

Série de 3 Norens décorés traditionnels sur Lin.

Un noren est un court rideau fendu en tissu que l’on accroche à la porte d’entrée des magasins, des restaurants ou des maisons au Japon. Il porte généralement le mon de la famille ou sert d’enseigne au commerçant et est un symbole de respectabilité.

Cadre Pastels Contemporain Meng Fudan Nongylek

Vue village de pêche traditionnel.

Pastels signée paysage villageois du Japon, 1986. Une des premières oeuvres de l’artiste contemporain MENG Fudan, né en 1953, peintre, sculpteur, graveur reconnu par les institutions des arts et du folklore asiatique.

Les oeuvres suivantes, ont surtout porté sur le développement de la femme au Japon et en Chine, tout en restant à 70% dans les techniques de pastels.

Aquarelle signée P. Henriot de 1999

P. henriot peintre aquarelliste – Dessinateur & Peintre (autodidacte) de nationalité Française. – Né à Nancy (Lorraine) le 25 février 1944. – Ancien Soliste de Ballet Classique et de Caractère.

Estampe signée REN Yi de 1882 avec certificat

Le faisan et le Magnolia en fleurs

De son vrai nom, Xiaolou Run, REN Yi naquit en 1840, il avait pour père un portraitiste de l’ancienne école et révéla très jeune un remarquable talent artistique.

Il débuta comme apprenti chez un marchand d’éventails à l’âge de 10 ans, et se forgea une réputation avant même d’atteindre ses 20 ans. Il créa un nouveau style, basé sur des conventions anciennes, plus douces, plus libres et plus vivantes. Il préféra traiter les thèmes ignorés par l’art conventionnel, en représentant des gens du peuple et des scènes de vie quotidienne. Il abordait les sujets classiques d’une manière entièrement nouvelle.

Ren Yi est décédé en 1896.

Divers oeuvres contemporaines, signées Erlo, et Rascall

Dessins et peintures diverses, faites particulièrement pour l’ouverture du Tomodashi To Dojo, dessinateurs, peintres amateur (possibilités de suivre et d’acquérir les divers travaux sur demandes).

Figurines et histoires

Poupée en bois Yoroï Kabuto 1948

Poupée Antique Japonaise, samurai au Katana, édition limitée, fabriquée manuellement et artisanalement en exemplaires limités à l’occasion de la journée des enfants de 1948.

La Journée des enfants, Kodomo no Hi, est une fête nationale japonaise qui a lieu chaque année le 5 mai et qui est la célébration finale de la Semaine.

C’est un jour férié au Japon. Cette ancienne fête, originellement appelée Tango no sekku, version japonaise de la fête chinoise de la fête des bateaux-dragons, nommée Dano en Corée et Tết Đoan Ngọ au Vietnam. Cela fait suite à l’acculturation et la réprobation du calendrier chinois, utilisé jusqu’en 1873, sous l’influence forcée euro-américaine (et de son calendrier), de l’ère Meiji. Elle célèbre les enfants, et plus particulièrement les garçons, dans tout le Japon. Elle est entourée de nombreux rites et symboles.

Poupée empereur Jimmu-Tenno Ningyo en boîte d’origine

Réalisation Gofun, soie et bois de 1926, période Shöwa

Jimmu signifie « courage divin »

L’empereur Jimmu Jinmu Tennō, 711 BC – 585 BC, également connu sous le nom de Kamuyamato Iwarebiko (prénom: Kami Yamato Ihare Biko no Mikoto), était le fondateur mythique du Japon et est le premier empereur sur la liste traditionnelle des japonais empereurs.

Selon la légende tout commence en 660 av. J.C. avec l’empereur Jinmu, qui descend de la déesse du Soleil Amaterasu, elle-même fille des dieux démiurges créateurs du monde terrestre (l’archipel japonais) : Izanagi et Izanami.

La liste officielle actuelle comprend 126 souverains (dont Naruhito), parmi lesquels on trouve 8 impératrices (dont 2 régnèrent sous deux noms différents).

Les poupées, jouets traditionnels Japonais

Les kokeshi, sont de simples poupées en bois sans bras ni jambes qui ont été conçues pendant plus de 150 ans comme jouet pour les enfants. Poupées japonaises, originaires de la région nord-est (Tōhoku-chihō) du Japon. Ils sont faites à la main à partir de bois, ont un tronc et une tête simples avec quelques fines lignes peintes pour définir le visage. Le corps a souvent des motifs floraux et / ou annulaires peints en encres rouges, noires et parfois vertes, violettes, bleues ou jaunes et recouverts d’une couche de cire. Une caractéristique des poupées kokeshi est leur manque de bras ou de jambes.

Les Kimmidolls, interprétation contemporaine d’une ancienne tradition japonaise : les poupées kokeshi apparues à l’ère Edo du XIXème siècle.
Comme à l’origine, chaque Kimmidoll incarne un grand principe de vie et transmet les valeurs qui lui sont associées : amour, générosité, sagesse…
Alors sculptées dans les chutes de bois, elles étaient vendues comme souvenir dans la région des sources chaudes, ou tout simplement offertes en gage d’amitié.
La légende raconte que les kokeshis contiendraient l’essence spirituelle des anciens. Une fois libéré, l’esprit zen protégerait le cœur et la maison de celui qui la reçoit.

Poupée Samouraï de Juzö Kagoshima 1967

Ancienne poupée éditée pour la journée des garçons de 1967.

Juzö Kagoshima, 10/12/1898 – 22/08/1982, né à Fukuoka, était un poète et fabricant de poupées traditionnelles Japonaises. Il est désigné à ce titre, Trésor National Vivant du Japon dans la catégorie ‘’fabrication de poupées’’ en 1961.

Il a appris la technique de fabrication de poupées auprès d’Arioka Yonejiro, et débuta par la fabrication de poupées en terre cuite, puis en 1932 par celle de poupées Shiso Ningyo, signifiant ‘’à figure humaine’’. En 1934, il rejoint le groupe d’artisanat Kojutsukaï.

Poupée Ishö, Geïsha de Göyö Hirata 1974

Poupée traditionnelle représentant la danse du Samouraï

Göyö Hirata, de son véritable nom Tsuneo Hirata, (né le 25/11/1903 dans la préfecture de Tockyo, décédé le 23/03/1981) était fabriquant de poupées traditionnelles Japonaises, nommé à ce titre, Trésor National Vivant du Japon en 1955.

Hirata commence à produire des poupées à l’âge de 12 ans, auprès de son père, pour ensuite poursuivre son apprentissage auprès de Yasumoto Kamehara. Au décès de son père, Hirata reprend le commerce de fabrication de poupée et se spécialise dans les poupées Ishö, ce qui signifie ‘’poupées en magnifiques garde-robe’’. Il fut à l’origine des poupées de l’exposition universelle de 1937 à Paris.

Duo de Porcelaine style Kakiémon 1948

Représente : Cavaliers effectuant le Yabusame

Le yabusame est une technique de tir à l’arc japonaise pratiquée à cheval. L’archer tire des flèches sans pointes (soit sifflantes, soit avec une boule au bout) sur trois cibles de bois. Ce type de tir à l’arc est apparu au début de l’époque de Kamakura. Le shogun Minamoto no Yoritomo s’inquiétait des lacunes de ses samouraïs au tir à l’arc. Il organisa donc le yabusame comme une forme d’entraînement.

Aujourd’hui, le yabusame est pratiqué entre autres dans le temple de Tsurugaoka à Kamakura et dans certaines villes japonaises avec un rituel shinto en automne.

La porcelaine Kakiémon était produite dans les ateliers d’Arita, préfecture de Saga, durant le milieur du 17ème Siècle, elle représente beaucoup de similitudes avec les céramiques chinoises de la famille verte. En 1971, cette technique artisanale entre dans le patrymone culturel du Japon.

Le potier Japonais Sakaida KAKIEMON ( 1596-1666 ) est cité comme le premier Japonais à avoir découvert le secret des décorations à l’émail de la porcelaine, connue sous le nom de technique Akae.

Poupées en bois et soie de 1937

Représente la cérémonie du thé traditionnelle

Duo de poupées traditionnelles en bois et soie, avec détails matériel de cérémonie.

La cérémonie du thé au Japon, appelée sadō, est un art traditionnel inspiré en partie par le bouddhisme zen dans lequel le thé vert en poudre, ou matcha, est préparé de manière codifiée par un praticien expérimenté et est servi à un petit groupe d’invités dans un cadre calme et qui, vu d’Occident, peut évoquer une cérémonie. Sadō, ‘’chemin du thé’’, représente l’étude ou la doctrine de la cérémonie du thé sur le mode d’une voie spirituelle, durant approximativement quatre heures, il comprend également sumi demae, à savoir la mise en place et le réajustement, en présence des invités, des charbons de bois permettant de chauffer la bouilloire.

Du fait qu’un praticien doit être familier avec la production et les différents types de thés, avec les kimonos, la calligraphie, les arrangements floraux, les céramiques, l’encens, et un large ensemble d’autres disciplines et arts traditionnels en plus des pratiques du thé enseignées dans son école, l’étude de la cérémonie du thé prend de nombreuses années — pour ne pas dire toute une vie. Même pour participer en tant qu’invité dans une cérémonie du thé formelle, une connaissance du sadō est requise, incluant les gestes recommandés, les phrases à dire par les invités, la bonne manière pour boire le thé et la tenue générale à adopter dans la salle où est servi le thé.

Figurines Parastone

Représentants Bando Kamezo et Ichikawa Kodanji, Kabukis du début 19ème siècle.

Deux célébrités du monde du spectacle Nö vers 1820,

Ichikawa excellait dans les rôles de Samouraï, rôles qu’il reprenait souvent dans les grandes pièces de plusieurs actes retraçant l’histoire du Japon.

Bando Kamezo, issu d’une longue lignée d’artistes célèbres au Japon, arrière-arrière petit-fils de Ichimura Manjiro poète impérial sous le pseudo ‘’Kakitsu’’, Bando était spécialisé dans les pièces de théâtre avec Buraku, ces grandes marionnettes en bois conçues pour ce genre de spectacle.

Ces figurines ont été produites sur base des estampes de Kunisada Utagawa (1786-1865), peintre populaire et prolifique, spécialisé dans les illustrations d’acteurs de Kabuki, maître incontesté de l’estampe sur bois.

Figurines Parastone

Représentants 3 samouraïs série Seishu Gishi Den sur les 47 Ronins.

Seishu Gishi den traitant de l’honneur des samouraï, représentations de trois des figures illustrant l’histoire des 47 ronins.

Cette histoire est connue également sous le nom de la vendetta d’Akö, elle est décrite dans les manuels d’histoire Japonais comme une légende nationale.

Cette histoire n’est pas une pure fiction, elle correspond à un fait historique. En 1701 dans la région d’Akö, préfecture de Hyago, un groupe de samouraïs, sans chef après la condamnation de leur Daimyo Asano Naganori, est laissé au suicide rituel (seppuku) par le Shogun Tokugawa Tsunayoshi.

Il est accusé d’avoir blessé Kira Yoshinaka (1641-1703), le maître des cérémonies de la maison du Shogun, qui l’avait insulté.

Les 47 Ronins décident de le venger en tuant Kira. Après avoir patiemment attendu et planifié l’attaque pendant près de deux ans, l’attentat a lieu le 14 décembre 1702 (selon le calendrier Japonais), ou le 30 Janvier 1703 (selon le calendrier Grégorien), les 47 eurent le droit de garder leur honneur par le suicide rituel pour meurtre et s’exécutèrent le 4 Février 1703.

Dragon en Bois, grand et petit

Grande sculpture monobloc du dragon Japonais, et petite représentation.

Le Dragon Japonais, également connu sous le nom de Ryu ou Tatsu, est un animal mythique du Japon. C’est un monstre légendaire très célèbre dans le folklore et la mythologie. Omniprésent dans la culture, les histoires et légendes à son sujet sont fortement associées et mélangées aux croyances.

Contrairement au dragon européen, celui-ci est un animal bienveillant qui ne crache pas de feu. Son apparence physique s’apparente fortement à celle du dragon Chinois. Il est décrit comme une créature serpentine dépourvue d’ailes et ayant des pattes comportant trois griffes, le terme employé pour le designer est ‘’Nihon no Ryu’’.

Le dragon Japonais symbolise la force et la sagesse, c’est donc un emblème très puissant.

Grande Geïsha sous verre

Représentation d’une grande Geïsha pièce de 1968.

Une Geïsha, aussi appelée Geiko, est au Japon une artiste et une dame de compagnies, qui consacre sa vie à la pratique artistique raffinée des arts traditionnels Japonais pour des prestations d’accompagnement et de divertissement, pour une clientèle aisée.

Elle cultive le raffinement artistique dans divers domaines tels que l’habillement en Kimono, la musique classique, la danse, les rapports sociaux, la conversation, les jeux, etc…

Les Geishas étaient nombreuses au 18ème et 19ème, elles existent encore dans le Japon contemporain bien que leur nombre soit en constante diminution.

L’institution multi-séculaire des Geishas entretient un rapport étroit et complexe avec le phénomène de prostitution, entre idéalisation de leur rôle et de leurs activités, et réalités historiques et sociales. Il est toutefois certain que l’octroi de faveurs sexuelles par la Geisha à son client n’a jamais été entendu comme systématique ou allant de soi.

Courtisane Japonaise, avec détails port Kimono

Poupée geisha, grand modèle avec les couches kimonos

Le Kimono est formé de rectangles de tissus pliés et cousus, mais jamais recoupés, il est rectiligne, tombant jusqu’aux pieds ou chevilles, suivant la formalité de l’ensemble et de la personne qui le porte.

Sa particularité consiste dans ses manches très longues, pouvant aller jusqu’au sol pour les kimonos des jeunes femmes.

Le kimono se porte toujours côté gauche sur côté droit, d’une part cela permettait de cacher une arme, d’autre part les morts sont habillés en croisant dans le sens inverse.

Il est tenu en place par une large ceinture appelée Obi, qui permet de distinguer certains groupes dans la société. Nouée dans le dos habituellement, elle était nouée sur le devant pour les prostituées.

Les tissus sont variés, comme le lin ou la soie, mais aussi la ramie, la fibre de mûrier, le chanvre. Les modes de tissage sont très nombreux aussi. Le choix des tissus et le fait qu’ils soient superposés ou ouatés permet de produire des vêtements adaptés aux saisons.

Les kimonos offrent de vastes surfaces qui ne tiennent pas compte de l’anatomie, pas plus de l’homme que de la femme, et ces surfaces sont le support privilégié de l’expression artistique Japonaise.

Les kimonos anciens sont décorés par des motifs traditionnels (pin, bambou, tortue, libellule, roue, cerisiers, pivoines, mauves, iris, rochers, eau courante, vagues, paysages, dont certaines vues célèbres, jeux de go, etc..

Symboles des vertus pour certains et permettant d’inclure aussi des motifs qui tels que des scènes parfois très complexes, comme paravents, rideaux portables, éventails et peintures sur rouleau verticale, qui mettent ces images en abîme.

Le décor permet aussi d’introduire des motifs géométriques simples, tels que quadrillages, losanges, motifs hachurés de rideaux en lattes de bambou déroulé ou complexes comme les nœuds cérémoniaux. Tous ces motifs étant dispersés ou groupés, voire superposés, mais avec de larges espaces vides font respirer ces compositions.

Reproduction Bois, d’une Jonque Japonais du 17ème siècle.

Une jonque est un bateau traditionnel d’Asie, à coque compartimentée et à voiles aux trois quarts entièrement lattées flottantes et à amure glissante ou réversible. La typologie des jonques est difficile et les ouvrages scientifiques sur le sujet toujours partiels. En fait le sujet recouvre potentiellement l’ensemble des embarcations d’Asie.

Les jonques sont au centre de l’histoire du commerce entre l’Asie et l’Occident et le Moyen-Orient : soie, porcelaine, thé furent échangés contre ivoire, épices et or, tout particulièrement entre le XVIe et le XVIIe siècle. C’est aussi l’époque des grandes expéditions chinoises menées sous la Dynastie Ming, notamment par l’Amiral Zheng He, qui découvrit le cap de Bonne-Espérance 92 ans avant que Vasco de Gama ne fasse entrer les premiers Européens dans l’océan Indien.

La période entre le XVIIIe et le XIXe siècle est particulièrement marquée par la piraterie. L’un des personnages le plus emblématique de l’histoire de la piraterie en jonque est sans nul doute la pirate chinoise Ching Shih qui commandait un total de 300 jonques rassemblant entre 20 000 et 40 000 hommes.

Reproduction en Bois d’un habitat traditionnel Japonais

L’habitat japonais a conservé certains éléments traditionnels japonais : maisons en bois, pièces en tatami (washitsu), parois en papier (shōji), vestibules (genkan), qui sont souvent mélangés aux éléments plus modernes : immeubles en béton armé et constructions aux normes parasismiques.

Les minka (maison du peuple) sont les résidences traditionnelles. On peut les diviser en deux catégories : les nōka (fermes) et les machiya (maison des bourgs).

Reproduction détaillée en plomb d’un Samouraï traditionnel

L’arme favorite du samouraï était le yumi (« arc »). Le yumi resta inchangé jusqu’à l’apparition de la poudre à canon et des fusils au xvie siècle. L’arc composite de style japonais avait une puissance pouvant aller jusqu’à 30 kg, même si communément sa puissance avoisinait les 20 kg. Sa taille permettait de lancer divers projectiles comme des flèches enflammées et des flèches-signaux d’une portée efficace de 50 m, et plus de 100 m quand la précision n’était pas importante. Il était ordinairement utilisé à pied derrière un tedate, un grand mur de bambou mobile,

Japonaise vendeuse de

Duo de Geisha accompagnantes, musicienne et danseuse 1956

Garantes de la tradition japonaise, comme c’est toujours le cas aujourd’hui, les Geisha / Geiko suivent une éducation particulièrement précise en arts (cérémonie du thé, arrangement floral, ikebana…) et musiques traditionnelles (shamisen, taiko…) voire parfois en danse. Leur rôle est celui d’une dame de compagnie, principalement pour des déjeuners entre riches hommes d’affaires.

Trio de poupée Japonaises contemporaines 2010

Japonaise coiffée et vendeuse de Sandogasa 1954

Au Japon, la coiffe traditionnelle est appelée sugegasa (chapeau d’herbe). Une variante, le sandogasa (littéralement parapluie/ombrelle/chapeau), est un chapeau plat, légèrement courbé aux bords, comme une assiette creuse. Il est constitué de laîche. Il tire son nom des sando hikyaku (coursiers trois fois) des coursiers qui trois fois par mois faisaient le chemin entre Edo (aujourd’hui Tokyo), Ôsaka et Kyoto 

Les armes, armures.

Armure Samouraï Ningyo, Yoroï Musha, 1929

Armure en Bois, alliage plaque Or, dans son box d’origine et signée sur tablette par l’artisan. (90x40x33)

C’est durant la période Heian, entre 794 et 1185, que l’armure japonaise apparait dans sa forme la plus connue, ō-yoroi. Des pièces de cuir imperméabilisées avec de la laque sont employées conjointement avec du métal, de la soie et différents alliages comme le shakudō (or et cuivre) ou le shibuichi (argent et cuivre). Les armures sont de type lamellaire, constituées de petites plaques de métal ou de cuir lacées les unes aux autres. Elles pèsent entre 20 et 30 kg.

Durant la période Edo, les armures, moins utilisées en ces temps de paix, se développent en vêtements d’apparat, rivalisant de richesse et de sophistication, jusqu’à la fin des samouraïs en 1877. (visible à droite au Kamiza)

Kendo, Armure adulte bambou brodée 1982

Le kendo-gu (aussi appelé bogu) est l’armure protégeant principalement les parties du corps visées. Il se compose des éléments suivants :

Men : masque pourvu d’une grille métallique couvrant le visage et la tête, les épaules et la gorge, porté par-dessus le tenugui, un tissu de coton.

Kote : gants protégeant les poignets et une partie des avant-bras.

Do : plastron protégeant le ventre au niveau des côtes et qui remonte jusqu’à la poitrine.

Tare : protection couvrant le bas-ventre et le haut des cuisses.

Sur la pièce centrale du tare est enfilé un sac en tissu appelé zekken, portant le nom du kenshi, ainsi que d’autres indications (drapeau national, dojo ou club d’appartenance, etc.). Cette identification est retirée lors des examens de passage de grades. Les parties souples de l’armure sont constituées de pièces de tissu en coton rembourrées, surpiquées et renforcées par des pièces de cuir (le plus souvent en daim) ou en matières synthétiques, le tout de couleur indigo. La grille du men (mengane) est réalisée en métal (duralumin, inox ou titane) ou en céramique. Le do est traditionnellement constitué de lattes de bambou recouvertes de cuir et laquées. De nos jours, d’autres matériaux (plastique, fibre de carbone, etc.) sont également employés. La partie supérieure du do protégeant la poitrine est en cuir ou en matières synthétiques. (visible à gauche au Kamiza)

Katana, lame signée Kanenori et Tanto Maru

Lame Tamahagane Wazamons, japon période Edo de 1850, certificat d’expertise NBTHK, remontée sur garnitures 1980.

Tanto bois naturel, lame tranchante en acier forgé main de type Maru, les koigueri et Kojiri sont en corne de Buffle.

Symbole de la caste des samouraïs, le katana est une arme de taille (pour trancher) et d’estoc (pour pointer, piquer). Glissé dans le fourreau, il est porté à gauche, passé sous la ceinture, tranchant dirigé vers le haut (vers le bas s’il s’agit d’un cavalier). Le tantō est semblable au katana, mais plus court et souvent moins courbé. En général, la section est hira-zukuri (les flancs de la lame sont plats) ; il est l’équivalent d’un poignard ou d’une dague japonaise. Selon sa monture, il peut être appelé tantō (s’il est glissé sous la ceinture) ou kaiken (s’il est dissimulé dans les vêtements). (visible kamiza dans les armes)

Armure bois de soie du clan OUCHI de 1868

Représentation de Ouchi Yoshioki et Ouchi Yoshitaka Hideyoshi et du Kirimon sceau officiel du clan.

Le clan Ōuchi, était une des familles les plus puissantes et importantes du Japon féodal durant l’époque des shoguns Ashikaga du XIIe siècle au XIVe siècle, prétendant descendre de la dynastie coréenne Baekje établie au Japon en 611.

Les domaines dirigés par le clan depuis la jōkamachi (ville-château) de Yamaguchi, comprennent six provinces à l’époque où la famille Ōuchi est la plus puissante et joue un rôle majeur par son soutien aux Ashikaga dans les guerres contre la cour impériale de l’époque Nanboku-chō. Les Ōuchi restent puissants jusqu’aux années 1560 quand leurs vassaux du clan Mōri les supplantent.

Basés dans la province de Suō, à l’extrémité ouest de l’île de Honshū, où ils bâtissent plusieurs châteaux, les Ōuchi sont parmi les premières familles à s’engager dans le commerce et les relations extérieures, particulièrement avec la Chine. À la suite de la guerre d’Ōnin (1467-1477), une forte rivalité se développe entre les Ōuchi et le clan Hosokawa qui est à présent au pouvoir. Les deux familles s’affrontent à Ningpo en 1523 avec, pour conséquence, la fermeture de Ningpo aux commerçants japonais par la Chine. Quand, plus tard, les Ōuchi sont à nouveau autorisés à y envoyer un navire, le commerce est sur le point de s’éteindre. Les relations commerciales du clan avec la Chine se terminent définitivement en 1548, leur monopole étant brisé par les commerçants du port maritime de Sakai.

Grâce à leur richesse et leurs contacts commerciaux, les Ōuchi se font connaître dans le monde des arts et de la culture en général. Ils possèdent d’innombrables pièces de collection du Japon et de la Chine comme du monde extérieur. L’invitation à Yamaguchi en 1486 du célèbre peintre Sesshu par Ōuchi Masahiro restera dans les annales.

Ōuchi Yoshihiro (1356-1400) : dirige une rébellion contre le shogun Ashikaga Yoshimitsu.

Ōuchi Masahiro : un des généraux en chef de Yamana Sōzen durant la guerre d’Ōnin.

Ōuchi Yoshioki (1477-1528) : remet le shogun Ashikaga Yoshitane au pouvoir en 1508 après une absence de quinze ans.

Ōuchi Yoshitaka (1507-1551) : son règne voit l’apogée et le déclin du clan ; il est renversé par un vassal qui prend le pouvoir effectif sur le clan.

Ōuchi Yoshinaga (m. 1557) : dernier seigneur Ōuchi, mais issu d’une autre famille, Yoshinaga se suicide deux ans après la bataille de Miyajima à l’issue de laquelle son clan est défait par le clan Mōri. Il était le frère du daimyo de l’époque Sengoku, Ōtomo Sōrin.

Kabuto, du Clan MASAMUNE

Lors de la dissolution du Clan Ouchi, bon nombre de Samouraïs devenus Ronins, furent incorporés sous la bannière de Date Masamune. Il était courant, que les armures de ces Ronins, soient complétées par diverses pièces issues des armes de ce clan en vue de reconstituer rapidement les troupes.

Date Masamune, 5 septembre 1567- 27 juin 1636) a été un des daimyos qui ont dirigé la région de Tōhoku au Japon. Pendant un temps, proche des Chrétiens, l’actualité et l’aura de Masamune font de lui une personnalité originale de l’époque, notamment son fameux kabuto orné d’une énorme demi-lune asymétrique. Il est parfois surnommé « Dokuganryū » (« le dragon borgne »).

En 1590, Hideyoshi Toyotomi perçoit Masamune comme une menace à cause de son pouvoir grandissant et attaque Aizu. On prétend que Hideyoshi a dû encercler l’armée de Masamune avec une troupe de 100 000 hommes pour le forcer à se soumettre. Masamune, s’attendant à être exécuté, met ses plus beaux vêtements et ne montre aucune peur. Voulant éviter des troubles, Hideyoshi l’épargne.

Après quelques temps passés au service de Hideyoshi, Masamune reçoit de ce dernier le château d’Iwatesawa et les terres environnantes. Il s’y installe en 1591, rebâtit le château, le renomme Iwadeyama et encourage et développe une ville aux alentours. Masamune occupe Iwadeyama pendant treize ans, période pendant laquelle il transforme la région en un centre politique et économique de première importance.

Il assiste et accompagne également Hideyoshi lors de ses deux campagnes d’invasion de la Corée en 1592 et 1597.

Wakyu, arc Japonais appellé Yumi

Yumi Hankyu 71’’ traditionnel en bambou avec jeu de flèches bambou 32’’

Yumi se traduit par « arc ». Deux types d’arcs traditionnels coexistent : le grand arc japonais appelé daïkyu et l’arc court appelé hankyu, le yumi a une forme particulière, ( Daïkyu long de 2,21 m) et il est proportionné à l’allonge du tireur. C’est un arc composite, constitué d’un lamellé de bambou et de bois.

Cet arc est asymétrique pour équilibrer son ouverture, la branche basse est plus puissante que la plus longue, la prise en main du yumi est différente d’un arc occidental. L’arc n’est pas tenu dans la main. Le maintien de l’arc dans la main se réalise uniquement par la poussée que l’archer réalise sur l’arc, ce point de poussée est nommé tsunomi. Cette technique, propre au kyudo, s’appelle te-no-uchi. L’archer agrippe la corde de sa main droite gantée d’un gake (gant de kyudo). La culture japonaise entretient une relation très forte avec le Yumi, c’est un objet de vénération : il est le support à de nombreux éléments religieux, il participe notamment à des cérémonies séculaires importantes. Dans l’exemple du kyūdō, l’arc est le medium du développement personnel. La relation de l’archer avec son arc est un lien intime pendant le tir, celui-ci devient le prolongement du corps de l’archer. (visible zone armes du Kamiza)

Le Menpo ou Mengu

Menpo me no shita men, démons noir et doré

Le Menpō, ou mengu est le terme pour désigner les nombreuses variétés de protection faciales portées avec le casque (kabuto) par les samouraïs japonais.  Souvent laqués, ces masques pouvaient représenter entre autres des visages de démons et des visages de kamis pouvant effrayer les ennemis. Les mempo étaient des armures faciales qui couvraient tout ou partie du visage et permettaient de renforcer la protection du casque lourd nommé kabuto. Ils étaient généralement en fer, en cuir, ou une combinaison des deux. Ils pouvaient être éventuellement laqués et inclure une large variété de détails, tels que des moustaches, des dents et un nez détachable. 

Happuri : masque complet avec ouvertures pour les yeux et la bouche ;                                

Hoate : masque protégeant uniquement les pommettes ;                                                   Somen (visage entier) : couvre entièrement le visage ;                                                          Me no shita men : couvre généralement jusqu’aux yeux, couvrant le nez ;                              

Nodowa : en forme de U, protégeant les pommettes et le menton.

(Visibles zone armes Kamiza)

Katana aux armes du clan Tokugawa 1852

Katana officier du clan Tokugawa, orné du Moon du clan

Le clan Tokugawa est une puissante famille japonaise de daimyos. Ses membres descendent théoriquement de l’empereur Seiwa (850-880) et forment une branche du clan Minamoto (Seiwa-Genji) par le clan Nitta. L’histoire ancienne de ce clan reste cependant mystérieuse.

Le fondateur original du clan Matsudaira serait Matsudaira Chikauji, à l’origine un prêtre bouddhiste pauvre. Il descendrait de Nitta Yoshisue à la huitième génération et aurait été témoin de la décadence des Nitta dans leur guerre contre les Ashikaga. Il s’installe à Matsudaira, province de Mikawa, région est de Nakamura.

L’emblème (mon) du clan Tokugawa, appelé la « triple rose trémière » (bien qu’identifié à tort à la rose trémière, le aoi appartient en réalité à la famille des aristoloches et correspond au gingembre Asarum), est une icône immédiatement reconnaissable au Japon, symbolisant également tant le clan Tokugawa que le dernier shogunat.

Les armes d’entrainement en Bois

Ensemble des armes traditionnelles en bois, entrainement Dojo Aikido.

Le JO : bâton moyen, est une arme traditionnelle Japonaise en bois d’une longueur de 1,28 mètre et d’un diamètre de 2,6 cm environ, il est utilisé lors de la pratique de l’Aikido, du Jodo, du Jo-jutsu et du Kobudo.

Utilisé dans le cadre du désarmement à mains nues d’un attaquant armé du Jo, ou dans le cadre d’harmonisation à deux pratiquants maniant chacun un Jo.

Le Jo aurait été conçu par l’escrimeur Muso Gonnosuke qui, après une défaite face à Miyamoto Musashi, cherchait une arme suffisamment longue pour avoir un avantage d’allonge significatif sur le sabre mais suffisamment court pour rester plus maniable que la lance ou le Bo.

Le BO : Bâton en bois ou en bambou de 1,80m, parfois recouvert de métal. Le Bo de grande taille est parfois appelé un Rokushakubo, nom emprunté aux termes japonais Roku signifiant six, shaku équivalent à 30.3cm et Bo.

Les Bo sont très variés. Il y en a des lourds et des légers, des rigides et de très flexibles ; de simples pièces de bois et des objets d’art finement décorés.

Plusieurs arts martiaux permettent la maîtrise du Bo, notamment le Bojutsu et le Bozendo.

Le TANTO : couteau Japonais légèrement courbé dont la lame n’excède pas 30cm,  la structure est semblable au Bokken mais beaucoup plus court et souvent moins courbé, s’apparente au couteau d’entraînement.

Le BOKKEN : Sabre de bois, imitant le Katana, peut être utilisé avec ou sans Tsuba (garde).

Employé dans l’Aikido, l’Iaido, le Jodo, le Kendo, le Kenjutsu et le Ninjutsu, utilisé pour l’entraînement, il est aussi devenu une arme de combat, le samouraï Miyamoto Musashi est réputé pour ses combats au Bokken, notamment lors de son duel contre Sasaki Kojiro.

Comme les katana, les bokken ont évolué avec leur époque. Chaque école traditionnelle historique possède des caractéristiques particulières ( poids, courbures, longueur, pointe, épaisseur) et sont adaptées à la technique de cette école. (Visible à gauche sur Kamiza)

Tenue de repos de Samouraï du Clan Takigawa 1867

Clan Takigawa — Wikipédia

Le clan Takigawa est un clan japonais dans la province d’Owari dont les origines sont méconnues. Nous savons toutefois que, grâce à Takigawa Kazumasu, le clan a été important au XVIe siècle pendant l’époque Sengoku. Kazumasu est un général sous le commandement d’Oda Nobunaga et plus tard sous celui de Toyotomi Hideyoshi. Après la mort de Kazumasu, le clan perd de son importance.

La tenue de repos est portée par les membres du Clan en période de paix. (visible zone armes du Kamiza)