Estampes, Rouleaux suspendus, Ukiyo, Illustrations, Tableaux.

Calligraphie peinte main 1956

Traduction : ‘’SI PRES DE LA BEAUTE »

A vous enseignants, au bout de ce chemin votre ancienne lumière fera place à une nouvelle vie’’

Comme les Japonais n’avaient pas de système d’écriture, ils ont cherché à utiliser les caractères chinois non pas seulement pour écrire le chinois, mais aussi leur propre langue. Jusqu’à nos jours, sur le plan lexical, les kanji sont ainsi encore essentiellement utilisés, non pour noter des prononciations, mais pour noter des sens. Cependant, le japonais a une structure très différente du chinois classique, et l’écriture chinoise ne permet pas d’en transcrire la grammaire et la syntaxe

Rouleau suspendu Soie du Japon, période fin Meiji 1906

Représente : Le samouraï recevant un rouleau écrit de la part d’une Geïsha

Un rouleau suspendu, est une des nombreuses façons d’exposer la peinture et la calligraphie chinoise et Japonaise.

Cette manière de présenter l’art permet au public d’apprécier et d’évaluer l’esthétique des rouleaux dans leur intégralité. L’artisanat traditionnel impliqué dans la création d’une telle œuvre est considéré comme un art en soi. Les supports se répartissent en quatre familles principales : les rouleaux manuels, les rouleaux suspendus, les feuilles d’album et les paravents.

Duo de callygraphies

Traduction : – ‘’la honte est le sang de notre cœur’’-

-‘’L’energie est un bien précieux’’-

Les rouleaux suspendus sont généralement destinés à être exposés pendant de courtes périodes de temps et sont ensuite roulés pour être repliés et sécurisés pour l’entreposage. Les rouleaux suspendus sont présentés de façon alternée selon la saison ou l’occasion, car ces œuvres ne sont jamais destinées à être exposées de façon permanente. La bordure de la surface de la peinture en papier ou en soie peut être décorée d’un brocart de soie. Dans la composition d’un rouleau suspendu, le premier plan se trouve généralement au bas du rouleau tandis que les plans moyens et lointains se trouvent respectivement au milieu et au sommet.

Ukiyo – Estampe, gouache, 1907

Représentation : Deux personnes devant une joueuse de flûte sous un un arbre en fleurs, Gouache sur bois. 40/50

L’ukiyo-e, terme japonais signifiant « image du monde flottant » est un mouvement artistique japonais de l’époque d’Edo (1603-1868) comprenant non seulement une peinture populaire et narrative originale, mais aussi et surtout les estampes japonaises gravées sur bois.

Les thèmes de l’ukiyo-e sont également tout à fait nouveaux, car ils correspondent aux centres d’intérêt de la bourgeoisie : les jolies femmes et les oiran (courtisanes) célèbres, les shunga (scènes érotiques), le théâtre kabuki et les lutteurs de sumo, les yōkai (créatures fantastiques), les egoyomi (calendriers) et les surimono (cartes de vœux), le spectacle de la nature et des meisho-e (lieux célèbres).

Geïsha cadre relief, soie et porcelaine 1954

Représentation : en 2 dimensions, en cadre d’une courtisane Japonaise, cadre de 20/30 période Shöwa.

Le Japon se dit Nippon en japonais, ce qui signifie « Soleil Levant ». La culture Japonaise est l’une des plus raffinées au monde, et le pays, bien qu’ultra moderne, n’a pas tourné le dos à ses belles traditions. L’art de recevoir, l’arrangement floral, la calligraphie, les arts de la céramique, font toujours partie de la culture japonaise.

Ici retranscrit mi XXème avec un mélange raffiné de matières.

Shin’ichi Sato Peinture sur fond de soie 1932

Style KAKEJIKU – KAKEMONO 62Cm/26Cm

Représentant une jeune fille avec éventail sur terrasse et oiseaux

L’œuvre est signée par un Hanko et validée sur la boite d’origine, Shin’ichi Sato, est un peintre axé principalement sur les personnages et les paysages japonais du XXe siècle. Il est né le 8 décembre 1915 dans la préfecture d’Aichi et mort en 1982.

À partir de 1923, alors âgé de 8 ans, Shin’ichi Sato commence à se former aux techniques de la peinture à l’huile, sous la direction de Eiji Matsumoto. Par la suite, tout en continuant la peinture avec Kunitaro Suda (1891 -1961), il entamera, dès 1937, des études supérieures à l’Université de Kyoto. Il est appelé à l’armée pendant la guerre de 1941 à 1946. En 1951, il s’installe à Tokyo. Il part pour l’Europe en 1958, où il voyage pendant un an.

Tableaux incrustation de Nacre 1960

Représente : un ensemble de grues en nature et scène de promenade en jardin

L’incrustation de Nacre est un processus comprenant plusieurs étapes successives, il faut d’abord aplatir les coquillages en les plaçant dans un étau après les avoir soigneusement lavé à l’eau, en évitant que le nacre se brise, ce qui arrive trop fréquemment. Les ouvriers découpent ensuite le coquillage aplati en morceau et séparent les parties planes des bords avant de les polir. Ensuite c’est l’affinage, une opération qui dure 24h, au cours desquelles les morceaux polis sont à nouveau placés dans un étau sous l’eau et resserrés graduellement toutes les 15min. Le nacre peut alors être incrusté, la légende raconte que le métier d’incrustation de nacre est apparu à Chuyên aux environs du 12ème siècle sous l’égide de Truong Công Thành, un général talentueux. 

Reproduction de 3 séries d’Ukiyo-e sur papier de soie

L’ukiyo-e, terme Japonais signifiant  ‘’Images du monde’’ ou encore ‘’Scènes de vie et légende’’, est un mouvement artistique Japonais de l’époque d’Edo (1603-1868), comprenant les peintures populaires narratives, mais aussi les estampes gravées sur bois ou sur soie.

Les Ukiyo-e, appartiennent à deux époques majeures de l’histoire du Japon, période Edo et l’ère Meiji, et se poursuivra jusqu’en 1912. La période Edo plutôt calme, offrait un environnement idéal pour le développement de l’Art sous forme commerciale. L’ère Meiji se singularisera par l’ouverture du Japon à l’Occident et le déclin de l’Ukiyo-e traditionnel avec l’arrivée des couleurs et techniques chimiques.

Duo Estampes Toichi Kato 1969

Représente : Deux courtisanes de noblesse

Tōichi Katō (6 janvier 1916 – 3 décembre 1996) est un peintre japonais de style nihonga et président du conseil de la Nitten, importante conférence japonaise d’art. À Gifu, préfecture de Gifu, un musée est consacré à ses œuvres ainsi qu’à celles de son frère ainé, Eizō Katō.

Il naît à Mitono-machi, dans la préfecture de Gifu, le cinquième fils d’un marchand de laque. Il étudie à la Junior High School de Gifu, d’où il sort diplômé en 1934. Il poursuit ses études à partir de 1941 à l’école des beaux-arts de Tokyo, dans le département des études nihon-ga. Il reçoit son diplôme en 1947, et présente sa première œuvre à la troisième exposition annuelle de l’Académie japonaise d’art, qui la sélectionne. L’Eizō & Tōichi Katō Memorial Art Museum ouvre en 1991 à Gifu. Deux ans plus tard, Tōichi Katō achève la cloison de séparation pour la grande alcôve du Kinkaku-ji. Il obtient en 1995 la reconnaissance du Japon pour sa « contribution exceptionnelle à la culture », puis devient en 1996 citoyen d’honneur de Gifu.

Il meurt la même année d’une pneumonie à l’âge de 80 ans, et sera nommé en 1997 citoyen d’honneur à titre posthume de Fujisawa, préfecture de Kanagawa.

Mosaïques estampes japonaise modèle contemporain

Illustration : Cerisier et Koï japonais – Cascade en montage – Cascade en forêt

La mosaïque Japonaise : bien qu’étant une référence en matériel des mosaïstes (pinces japonaises, galets japonais), le Japon ne semble pas avoir de tradition dans cet artisanat.

Des artistes contemporains comme Toyoharu Kii ou Etsuko Miyoshi (qui a exposé à Paray le Monial), travaillent la mosaïque mais ils ont fait leur apprentissage à Ravennes, où les principaux sites historiques sont recouverts de mosaïques d’origine byzantine.

Illustration Okko, par HUB, 2015

Illustration signée de l’auteur, tirage limité à l’occasion de ses 10 ans de carrière.

Okko est une série de bande dessinée fantastique de Hub publiée depuis 2005 chez Delcourt, dans la collection Terres de Légendes. L’histoire prend place dans un univers médiéval japonais, librement inspirée d’œuvres comme Princesse Mononoké, La Pierre et le Sabre ou encore le jeu de rôle Le Livre des cinq anneaux.

Hub, de son vrai nom Humbert Chabuel, né le 26 juin 1969 à Annecy, est un auteur de bande dessinée français. En 1992, Hub est designer sur le film Le Cinquième Élément du réalisateur Luc Besson. Il réitère une expérience dans le septième art en 2001 avec le film Samouraï. Entre-temps, il se rode dans l’univers du dessin animé.

En 2005, il se lance dans la saga Okko avec la sortie du premier tome du Cycle de l’Eau. En 2011 sort le tome 1 d’Aslak, L’Œil du monde, chez Delcourt avec Hub et Fred Weytens au scénario et Emmanuel Michalak au dessin.

Estampe influence Keibun, Ecole Goshun de 1895

Représente : oiseaux sur cerisier en fleurs

Keibun, de son vrai nom Matsumara Keibun, (surnoms: Shisō, Kamane, nom de pinceau Kakei) est un peintre japonais des XVIIIe – XIXe siècles de l’école Shijō. Né en 1779 et mort en 1843. Il est actif à Kyoto.

Keibun est un peintre d’animaux, paysages et fleurs. Il est l’élève de son frère Goshun et fait partie de l’École Shijō. Il contribue, grâce à ses œuvres délicates et à sa touche raffinée, à développer la réputation de l’école de son frère dans la région de Kyoto et Osaka. Il travaille avec le confucianiste Koishi Genzui et est particulièrement versé dans les théories artistiques des dynasties chinoises Ming et Qing. C’est un spécialiste de la peinture de fleurs et d’oiseaux.

Rouleau suspendu horizontal 1962

Décoré et peint à la main, accompagné de calligraphie représentant 18 Luohans (moines bouddhistes japonais) dans un décor naturel, de 3m60/50Cm.

Luohan, désigne le dernier échelon de la sagesse. En sanskrit, le terme est le participe présent du verbe arh-, « mériter ». C’est donc proprement un « méritant », Le bouddhisme au Japon ( bukkyō ) a été importé de Chine et de Corée à partir des Ve et VIe siècles ; il est donc fortement influencé par les bouddhismes chinois et coréen, mais aussi par le shintoïsme, principale religion du Japon née plusieurs siècles auparavant. Son histoire peut être divisée en trois périodes, l’époque de Nara (jusqu’en 784), l’époque de Heian (794-1185) et la période post-Heian (à partir de 1185). Chaque période a vu l’introduction de nouvelles doctrines ou l’évolution d’écoles existantes, des trois grands courants du bouddhisme : hīnayāna, (voie du Petit Véhicule), mahāyāna (voie du Grand Véhicule), vajrayāna (voie du Diamant).

Illustration Rouge de Chine par Robin Thierry

Sur base de la série Rouge de Chine, illustration 40/50, éditée en 225 exemplaires numérotés et signés par l’auteur.

Thierry Robin, né en 1958 à Damery dans la Marne, effectue une spécialisation en dessin animé après avoir effectué ses études aux Beaux-Arts de Reims, il débute ensuite dans la bande dessinée aux éditions Fleurus avec, de suite, une série imprégnée par sa passion pour la Chine, ‘’Triolo et Mikado’’.

Après un Album nominé en 1990 au salon d’Angoulème, référence de la Bd, il se plonge totalement dans l’ambiance, les mystères et l’exotisme de la chine qu’il visite par 3 fois, se plongeant totalement dans cette culture jusqu’à en apprendre la langue, chaque album de sa série va dès lors s’enrichir de ses propres expériences, « Rouge de Chine » est une série fantastique et poétique en 4 volumes, pleine d’audace dans la mise en page, subtil voyage au centre de ce pays réinventé et inquiétant, exploration minutieuse et désabusée de l’âme humaine.

Illustration Kwaidan par Sik JUN JUNG

Sur base de la série Kwaidan, illustration sépia 40/50, éditée en 18 exemplaires numérotés et signés par l’auteur.

Sik Jun Jung, né le 2/12/1965 à Séoul, adopté par une famille Belge. En 1971, il prend pour nom d’adoption Jung Henin.

Après des études à Rixensart, il fréquente, en 1985, l’atelier St Luc de Bruxelles, et passe ensuite à l’académie des Beaux-Arts en illustration. Parallèlement, il fait un bref détour dans le dessin animé à la Cambre. En 1987, sa carrière prend un tournant décisif avec sa rencontre avec Michetz (Auteur Bd de Kogaratsu), qui le présentera chez Spirou, ou il développe son talent dans divers ateliers d’auteurs.

La finalité de ses dessins pour lui, est de faire transparaitre les émotions, les sentiments. En 1997, il réalise ‘’la jeune fille du vent’’, univers asiatique, et donc retour à ses origines. Avec Kwaidan, il signe son premier scénario, une série qui frappe par la beauté des couleurs directes et la poésie subtile et raffinée qui émanent de ce conte Japonais.

Série de 12 estampes 1949

Extraits d’un livre d’œuvres d’étudiant, signées Yasse Tabuchi vues de Yawata préfecture de Kyoto

Yasse Tabuchi, né Yasukazu Tabuchi, le 20 mai 1921 à Kitakyūshū, au Japon, et mort le 24 novembre 2009 à Vauhallan, au sud de Paris, est un peintre aquarelliste, graveur sur cuivre, lithographe et céramiste japonais du XXe siècle. Il est actif en France de 1951 jusqu’à sa mort.

Après avoir été mobilisé dans la marine et l’aviation, pendant les dernières années de la Seconde Guerre mondiale, il suit des études en histoire de l’art à l’université des arts de Tokyo de 1946 à 1951, tout en ayant commencé à peindre. En 1951, il quitte sa famille et Yokohama et prend le bateau en direction de Marseille puis refait sa vie à Paris. En 1959, il achète une ferme à Vauhallan, dans l’Essonne, afin d’avoir plus d’espace pour travailler. Dans la deuxième moitié des années 1950, Tabuchi s’intéresse en particulier à l’abstraction lyrique et explore le clair-obscur pour réaliser des toiles ayant de très forts contrastes colorés.

Rouleau suspendu Tomo-Bako 1932

Rouleau de soie, représente une grue, signé Imaï Keiju Période Showa

IMAÏ Keiju (1891-1967), Peintre de l’école Shijo, né dans la préfecture de Mie, a étudié sous la direction de Keinen Imao sous le pseudonyme de Kensei-saï.

Excellent peintre durant la période Showa (1926-1989), caractérisé par le relevé de ses couleurs, et sa production surtout basée sur les fleurs et les oiseaux.

L’école Shijo, également connue sous le nom d’école « Maruyama-Shijō », fait partie des diverses écoles mineures dont l’ensemble constitue la plus grande école de Kyoto. L’école Maruyama-Shijō tient son nom de la rue de Kyoto où étaient fixés de nombreux artistes. Littéralement, Shijō signifie « quatrième avenue ». Le style de l’école se concentre sur un réalisme objectif influencé par l’Occident mais réalisé avec les techniques traditionnelles de la peinture japonaise. Il se concentre moins sur la représentation exacte de son sujet, que sur l’expression de l’« esprit intérieur » Ses motifs les plus populaires sont les paysages tranquilles, Kacho (fleur et oiseau), les animaux, et les sujets traditionnels de tradition poétique et confucéenne chinoise

Peintures sur soie époque avant-guerre 1929 

Série de 3 estampes sur soie, faites mains, signées Yasuda Yukihiko

La peinture japonaise (Kaiga), (l’un des plus anciens et des plus raffinés des arts visuels japonais) comprend une grande variété de genres et de styles. Comme c’est le cas dans l’histoire des arts japonais en général, la longue histoire de la peinture japonaise présente à la fois la synthèse mais aussi la concurrence entre l’esthétique japonaise native et l’adaptation d’idées importées, principalement de la peinture chinoise, particulièrement influente dans un certain nombre de domaines.

Yasuda Yukihiko (16 février 1884 – 29 avril 1978) est le nom d’artiste d’une figure majeure de la peinture japonaise de l’ère Taishō et du début de l’ère Shōwa, qui est considéré comme l’un des fondateurs de la technique nihonga. Son véritable nom est Yasuda Shinzaburō, il est surtout connu pour ses peintures sur des thèmes historiques, et parfois pour ses tableaux d’oiseaux et de fleurs. Un de ses principaux disciples est Ogura Yuki, le fameux peintre nihonga .

Estampe brodée de 1920

Représente le pont de Ryôgoku à Edo vers 1680.

Traduction: Le voyage de la rivière Sumida-gawa avait des coutumes historiques, le festival du pont Ryogoku, ces aspects de la vie terrestre montrent l’immortalité de l’histoire.

Estampe signée, Ming Shanghe Hongqiao

Le pont de Ryōgoku, est un pont de Tokyo construit en 1659 sur la Sumida-gawa juste en amont de sa confluence avec la Kanda-gawa. Son nom, qui signifie « deux provinces », vient de ce qu’il relie Edo (prédécesseur de Tokyo dans la province de Musashi) et la province de Shimōsa. Le quartier de Ryōgoku à l’extrémité est du pont lui doit son nom. Originellement en bois, il est endommagé à plusieurs reprises avant d’être remplacé par un pont métallique en 1904. Le pont actuel résulte des fortes rénovations de 1932, et mesure aujourd’hui 164,5 m de long pour 24 m de large.

Rouleau suspendu Soie Japon, période début Showa 1930

Représente la présentation des étoffes au Shogun

Peinture de rouleau suspendu en soie, peint à la main, signée de la manufacture Fusstsu Shüko. Elle représente le diplomate et poète japonais SUGAWARA Michizane (845-903), apportant une pièce d’étoffe de soie en cadeau au Shogun.

Poète et homme politique de la période Heian du Japon . Il est considéré comme un excellent poète, en particulier dans la poésie kanshi , et est aujourd’hui vénéré dans le  shintoisme  comme le dieu du savoir. Il a commencé sa carrière à la Cour en tant qu’érudit au sixième rang supérieur relativement prestigieux en 870. Son rang coïncidait avec son rôle initialement de fonctionnaire mineur dans la bureaucratie de la Cour sous le ministère des Affaires civiles . En 874, Michizane avait atteint le cinquième rang (son père le quatrième), et servit brièvement sous le ministère de la Guerre avant d’être transféré à un rôle plus souhaitable au ministère des Affaires populaires.

Rouleau suspendu Parchemin, période fin Meiji 1901

Représente Tokiwa Gozen fuyant avec ses trois fils

Tokiwa Gozen (1138-1180), ou Dame Tokiwa, est une femme de la noblesse Japonaise de la fin de l’époque de Heian, mère du grand général samouraï Minamoto no Yoshitsune. Les sources ne s’accordent pas de savoir si elle est une concubine ou la femme de Minamoto no Yshitomo à qui elle donna trois fils dont le plus jeune nommé ci-dessus.

Après la défaite du seigneur Yoshitomon, Dame Tokiwa est capturée par Taira no Kiyomori, de qui elle sera la concubine en échange de l’assurance de sécurité pour sa famille. Après avoir fui celui-ci, elle épousera Fujiwara no Naganari.

Dame Tokiwa est essentiellement associée dans le domaine des arts et de la littérature à un épisode au cours duquel elle s’enfuit dans la neige, protégeant ses trois jeunes enfants dans ses robes après la rebellion de Heiji de 1160. Elle est aussi appelée Hotoke-Gozen ou dame Buddha.

5 Illustrations de MICHETZ

Illustrations sur base des séries Kogaratsu et Tako, éditées en nombre d’exemplaires réduits, numérotés et signés par l’auteur.

Michetz (pseudonyme de Marc Degroide), apprécié pour avoir créé le personnage de Kogaratsu. Il se fait particulièrement connaitre pour ses dessins inspirés du Japon. Ce passionné de la culture nippone a publié plus d’une dizaine d’albums mettant en scène son héros principal mais également de nombreux travaux autour du Japon.

Marc Degroide nait à Ixelles, en Belgique, le 15 octobre 1951. Il fait ses premiers pas dans la bande dessinée dans les années 1970 en intégrant le studio de Jean Graton, le créateur de la série Michel Vaillant. Parallèlement à ses activités professionnelles, Marc Degroide se passionne pour la culture japonaise et particulièrement pour les arts martiaux. Il pratique assidument le kendo, le judo et l’iaïdo. C’est ainsi qu’il construit ses premiers personnages.

La consécration arrive en 1983 avec le personnage de Kogaratsuun samouraï sans maître à l’époque du Japon médiéval. Le talent de Michetz se révèle au grand public. Les premières histoires sont publiées dans le journal de Spirou avant de voir la publication du premier album intitulé Le Mon au lotus de sang en 1985.

Mis à part son travail pour Kogaratsu, Michetz réalise d’autres travaux autour de sa passion pour le Japon, notamment des portfolios ou encore la publication de périodiques à la fin des années 1980.

Reproduction de tapisserie d’un grand Paon Asiatique

Au Japon, le paon est associé à une divinité bouddhiste (Kannon en Japonais, associé avec compassion).

Il porte donc des valeurs de bonté, d’amour, d’attention. Il est arrivé de Chine. Le phénix (feng huang) diffère de celui que nous connaissons.

Dans de nombreuses cultures et à travers l’histoire, le Paon a été considéré comme un oiseau sacré et immortel.

Dans la culture Japonaise, il est représenté par la divinité ‘’Kujaku-myou’’.

Très proche de l’humanité, qu’il guide grâce à sa traîne de plumes comme une multitude d’yeux.

Noren décorés

Série de 3 Norens décorés traditionnels sur Lin.

Un noren est un court rideau fendu en tissu que l’on accroche à la porte d’entrée des magasins, des restaurants ou des maisons au Japon. Il porte généralement le mon de la famille ou sert d’enseigne au commerçant et est un symbole de respectabilité.

Cadre Pastels Contemporain Meng Fudan Nongylek

Vue village de pêche traditionnel.

Pastels signée paysage villageois du Japon, 1986. Une des premières oeuvres de l’artiste contemporain MENG Fudan, né en 1953, peintre, sculpteur, graveur reconnu par les institutions des arts et du folklore asiatique.

Les oeuvres suivantes, ont surtout porté sur le développement de la femme au Japon et en Chine, tout en restant à 70% dans les techniques de pastels.

Aquarelle signée P. Henriot de 1999

P. henriot peintre aquarelliste – Dessinateur & Peintre (autodidacte) de nationalité Française. – Né à Nancy (Lorraine) le 25 février 1944. – Ancien Soliste de Ballet Classique et de Caractère.

Estampe signée REN Yi de 1882 avec certificat

Le faisan et le Magnolia en fleurs

De son vrai nom, Xiaolou Run, REN Yi naquit en 1840, il avait pour père un portraitiste de l’ancienne école et révéla très jeune un remarquable talent artistique.

Il débuta comme apprenti chez un marchand d’éventails à l’âge de 10 ans, et se forgea une réputation avant même d’atteindre ses 20 ans. Il créa un nouveau style, basé sur des conventions anciennes, plus douces, plus libres et plus vivantes. Il préféra traiter les thèmes ignorés par l’art conventionnel, en représentant des gens du peuple et des scènes de vie quotidienne. Il abordait les sujets classiques d’une manière entièrement nouvelle.

Ren Yi est décédé en 1896.

Divers oeuvres contemporaines, signées Erlo, et Rascall

Dessins et peintures diverses, faites particulièrement pour l’ouverture du Tomodashi To Dojo, dessinateurs, peintres amateur (possibilités de suivre et d’acquérir les divers travaux sur demandes).

Publié par Eric Leonard

Juste moi avec tout mes défauts et qualités (si il y en a).

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